vie du gîte
Vacances à St Jean !
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texte écrit en Français par Elisabeth Lewerentz-Wilken

St. Jean de Moirans 21.7.- 4.8.
Samedi, 21.7.
Nous venons du nord de l'Allemagne, Wildeshausen, au sud-ouest de Bremme.

La même procédure comme toutes les années ! Il y avait beaucoup de trafic sur l’autoroute en direction du sud et en conséquence aussi beaucoup de bouchons aux alentours de Lyon. Notamment des Hollandais et des Belges ont envahi en France. Alors, nous avons pris la route par Dijon – Dôle – Bourg-en-Bresse – Voiron. Après avoir annoncé l’arrivée au supermarché ‘Champion’,
Alain est venu nous chercher à cause des chantiers dans le village.

La maison

Nous l’avons trouvé sur Internet. Elle est située à la mi-pente en direction du sud.
Il y a 2 ans le bâtiment était en train de s’effondrer. On s’est posé la question de la laisser s’effondrer ou de la remettre à neuf. D’origine il s’agit d’une écurie qu’on
a refaite en 2 ans. On entre dans ‘l’écurie’ encore équipée avec une mangeoire, d’autres panoplies d’une ferme et des anciens meubles (table, chaises, étagère, pupitre, four à gaz, évier). On habite au premier étage. Ici, ils se trouvent une chambre avec grand lit, une grande salle de bain avec une cabine de douche,
une baignoire, deux lavabos et une grande pièce qu’on utilise comme salon, cuisine (bien équipée) et salle à manger. La dernière c’est vraiment la plus impressionnante pièce de la maison parce qu’on peut voir par des grandes fenêtres la Chartreuse, le Jura, le Vercors et Grenoble 25 km
plus loin. L’étage au-dessus y entre comme un grand balcon. On est en train d’aménager le 2ième étage comme bureau avec connexion internet. La haut se trouve une 2ième chambre. D’ici on pénètre une terrasse couverte d’un toit aux tuiles. Très impressionnant c’est aussi qu’on a appliqué beaucoup de choses
du bâtiment d’origine, par exemple. des anciens morceaux de bois comme tablette
à côté de la baignoire ou comme tableau intégré dans le mur.
Le temps
À cause de la température (entre 28 et 31 degrés) nous nous sommes levés tôt
(6.00/ 6.30 heures) et nous avons remis nos activités au tôt du matin/ matin tôt
ou au après-midi avancé. L’après-midi, nous nous sommes reposés en lisant
et moi-même aussi en éduquant notre chien Palu.
Blaky
Le chien des propriétaires est un cocker de 13 mois. Palu et Blaky se sentaient bien et aimaient jouer sur la pelouse. Quelque fois les pots de fleurs sont tombés. Blaky l’attendait presque chaque matin pour l’accompagner.
Blaky a fait ses besoins, Palu n’a pas eu le temps d’en faire.


Dimanche, 22.7.
Nous n’avons pas eu envie de faire grand chose. Pour se faire une idée d’ensemble de la région, premièrement nous sommes allés (en voiture)
au Lac de Paladru - Virieu (le Château de Virieu était malheureusement encore fermé) - Les Abrets - Le Pont de Beauvoisin - St. Albin de Vaulserre -

St. Geoire en Valdaine (l’essence 1,42 €/litre) - Chirens - Voiron.
Petite promenade dans le village après la retransmission du Tour de France.


Lundi, 23.7.
Alain nous a donné beaucoup de renseignements sur La Chartreuse, le massif
aux portes du village qui s’élève à 2000 m d’altitude. Nous y sommes allés faire
une promenade de la Correrie (le musée) du Couvent de la Grande Chartreuse.
Ce chemin est interdit aux chiens même tenus en laisse : Pourtant on y est allé avec le chien tenu en laisse. Le mistral soufflait si fort. Beaucoup de branches de frênes sont craqués dont une petite est tombée sur notre voiture. Pas grave.
Le monastère se montre dans une conception très claire et bien entretenue.


Mardi, 24.7.
Nous sommes allés à Lyon, la 3ième plus grande ville de la France.
En prenant l’une de nombreuses montées (escaliers sans arrêts), nous avons visité l’église de Fourvière qui se trouve sur une colline dans l’est de Vieux Lyon –
vue formidable sur toute la ville.


Mercredi, 25.7.
Visite du marché à Voiron. On a déjà acheté des cadeaux pour les voisins :
l’huile de noix et miel de lavande. Les marchés dans cette région et ceux
dans le sud se ne différencient pas trop. En Provence on offre plus d’étoffes.
L’après-midi, la première visite de Grenoble. D’un côté la ville est plus concise et homogène que Lyon, d’un autre côté on ne peut pas comparer ces deux villes.
La prochaine fois nous irons là-haut au fort de la bastille.

Jeudi, 26.7.
Il faisait chaud. Justement devant nos yeux le massif du Jura y cesse.
Nous sommes allés du Bret (D 128) sur la Roche Brune (932 m)
la dernière élévation du Jura.
La plupart du temps on allait dans l’ombre.
La vue sur la vallée d’Isère est exceptionnelle.


Vendredi, 27.7.
Encore une petite promenade au matin à partir du Bret en direction du nord (la Croix des Traverses). Le soir nous sommes montés sur la colline de Vouise (Alt. 735 m, Notre Dame du Vouise) où je suis montée sur la tour. La vue d’ici est formidable.

Samedi, 28.7.
Bien connu et d’être digne vu c’est Le Palais idéal du Facteur Cheval à Hauterives. Ferdinand Cheval, un fils d’un paysan, piéton des Postes (32 km à pied) a gravé ses rêves en construisant cet œuvre monumental (en ciment et en pierres) dans/ pendant la période du 1879 au 1912 (10 milles jours, 93 milles heures, 33 années de peine).
En retournant nous avons pris la route par Roybon
(l’église en briques et en pierres) St. Marcellin – Voiron.

Dimanche, 29.7.
100 km dans le nord - est on trouve Annecy dont le marché est le plus beau dans cette région. Heureusement nous sommes arrivés relativement tôt.
Pourtant une foule se déroulait dans les rues très étroites,
vers midi c’était vraiment désagréable.
Palu a pris une baignade dans le Thiou en sautant plusieurs fois
avec grand plaisir dans la rivière.

La Bastille à Grenoble s’élève au-dessus la ville. Il y a plusieurs possibilités d’y monter. Nous avons pris le sentier par les jardins avec ses chemins sinueux.
La plupart de sentier est composé des escaliers.
Palu - moins nous-mêmes - a soufflé très fort. La vue sur Grenoble (et les Alpes) était exceptionnelle parce que le soleil était déjà en train de se coucher.

Lundi, 30.7.
Suivant aux traces du Tour de France nous avons fait un circuit de 250 km :
Grenoble – Vizille – Gorges de la Romanche – Col du Glandon – St. Étienne-de-Cuines – St. Jean-de-Maurienne – Valloire (déjeuner dans le jardin d’un hôtel) –

Col du Galibier (2675m) – Col du Lautaret – Le Bourg-d’Oisans. De temps en temps
j’ai raz bol de monter ou de descendre toujours en lacets, mais pourtant nous
avons profité du circuit. Avec doping ou non, dépasser le Col du Galibier, c’est une vraie performance. D’ici on a une belle vue sur les Alpes (Barre des Écrins, 4102 m, 20 km plus loin). Mais on n’est pas resté très longtemps parce qu’il y avait beaucoup de vent et il faisait froid (10 – 12 °C ?).

Mardi, 31.7.
Une autre randonnée cette fois au massif Vercors dont le point culminant (le Grand Veymont) fait 2341 m d’altitude. Ce montage présente nombreuses facettes avec ses paysages qui alternent champs de lavande, alpages et montagnes. En 1941 des résistants ont profité de la topographie du Vercors pour s’y cacher et organiser un plan d’attaque. Nous sommes allés à là Dent de Moirans la plus haute pointe
dans le nord du massif.
La vue est exceptionnelle sur la vallée d’Isère, le Jura et la Chartreuse.

L’après-midi, nous sommes allés aux Abrets visiter une brocante.

Mercredi, 1.8.
Après déjà visiter Annecy, Aix-les-Bains nous a déçu. Pas le lac, pas la ville elle-même mais la distance entre les deux (eux) est trop loin. Mais pourtant on peut s’y promener très bien. Au bord du lac, on peut flâner sous les platanes, louer un pédalo, jouer au golf miniature,on s’amuse en contemplant les promeneurs en prenant un café.

Jeudi, 2.8.
Déjà avant le départ j’ai voulu visiter Alpe-d’Huez. En prenant les 23 lacets (en voiture) nous avons dépassés beaucoup de cyclistes dont quelques-uns parmi eux
ne devraient pas arriver au village. Le plus impressionnant c’est l’église sur place. La méthode de construction et les fenêtres et aussi les gens qui contemplent, qui prient ou qui s’exercent à l’orgue donnent une atmosphère inoubliable.
L’après-midi nous avons acheté un Gunnera à Voiron pour Suzy et Alain qui sont
en train d’aménager un ‘jardin d’hôtes’ juste à côté du gîte.

Pour la première fois en France on nous a invité pour le dîner. Depuis beaucoup d’ans nous louons une maison de vacances, mais habituellement les loueurs ne vivent pas si proches des locataires comme cette fois. Nous avons profité de la soirée. Suzy et Alain sont si aimables. Bien que Suzy parle allemand (elle a proposé de traduire pour Alain) nous ayons parlé français, une bonne chance pour nous de pratiquer la langue.

Vendredi, 3.8.
Le dernier jour de vacances. On a pris un café à Voiron, on a nettoyé la maison, on a profité du soleil et du ciel bleu, on s’est promené pour la dernière fois par les champs de maïs en contemplant le coucher de soleil qui colore les montagnes entourées en rouge. Formidable.

Le soir, Suzy et Alain nous ont invité de prendre un apéritif dans le jardin.
Très gentil.

Samedi, 4.8.
Nous sommes partis à 5.10 heures par Bourg-en-Bresse.
Un seul bouchon près chez nous a dérangé le retour.

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