balades
et randonnées |
Col de
La Tençon |
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accès
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A l’extrémité sud du massif jurassien, au
bout du chaînon du Ratz. Une sortie riche d’évocations, ancienne carrière, lieu de résistance, ruines de fermes, sur la trace d’une voie séculaire dont subsiste le pavage. Un sentier de beauté qui décuple l'envie de marcher. avant de partir voyez le diaporama ![]() ![]() |
2 balades selon la durée ou la difficulté. |
la prairie |
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depuis
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le tour complet |
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après la prairie, laissée à droite, le
sentier monte plus raide. Au panneau "Col de la Tençon" (1) prendre à droite > "arbre fourchu". Descente raide entre les buis (2) et en sous bois. A gauche belvédère ![]() Au panneau "arbre fourchu", il l'est vraiment, prendre à droite > "La Buisse". Retour à flanc de falaise, vues à pic sur la vallée. Détour possible au "belvédère des maquisards" (ar 30mn)(3) Le sentier très bien entretenu,(4), traverse une zone pastorale, prairies peuplées de troupeaux, vaches chevaux(4), et de ruines campagnarde évocatrices.(5) Laisser à gauche le chemin vers la carrière et rejoindre le "bois de la Tençon" et de là le ![]() ![]() |
![]() 1. Le Col est le point culminant de la randonnée, autrefois lieu de passage frontière entre le Dauphiné > Voiron > La Buisse, et la Savoie par le col de la Placette. La voie cheminait en hauteur pour éviter les agressions, les marécages et les inondations. 2. Le "chemin des geais" entre le col et l'arbre fourchu était jusqu'en 1970 un point de passage des geais au cours de leurs migrations d'automne. 3. Le "belvédère de maquisards", fut utilisé en juin 1940 par l'armée des Alpes, puis par les résistants, pour surveiller la cluse de Voreppe. 20 juin 1940 Les troupes allemandes sont arrêtées par les Français à Voreppe. 4. Beau travail d'une association voreppine: la COREPHA, qui assure l'éternité de ces sentiers. 5. De très belles ruines donnent une idée de richesse liée à la taille des bâtiments. Une belle source,un bassin, un vieux four, trois pans de murs, un porche, on imagine la vie aux siècles passés dans ces lieux vivants maintenant abandonnés. 6. Et Hannibal ! Des centaines d'ouvrages ont cherché à élucider "par où" étaient passés les éléphants d'Hannibal pour traverser les Alpes et aller guerroyer contre les romains. Afrique du Nord, Hispanie, sud de la Gaule.. le Rhône, l'Isère, Moirans... et après ? Des quelques variantes pour franchir les Alpes et éviter les marais de la cluse de Voreppe, une prend de la crédibilité depuis des observations récentes concordant avec les détails des écrits historiques de Polybe et Tite-Live. Un "chemin étroit, raboteux, bordé de précipices", un oppidum à proximité, un passage obligé et difficile..... c'est "La Tençon" ! Il nous reste à imaginer 38 000 fantassins, 8 000 cavaliers et 37 éléphants de guerre transitant par St Jean de Moirans, pour s'engager à flanc de colline, et affronter les terribles Allobroges au dessus de La Buisse. Au gîte vous êtes aux premières loges ! ![]() avant de partir voyez le diaporama ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
en 1 clic le gîte![]() ![]() |
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en savoir plus![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
2010oct